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L'ALGÉRIE APPELAIT À NE PAS SACRIFIER LE MOUTON DE L'AÏD


Dans cette publication, nous allons démasquer la propagande algérienne parlant d'une annulation de la fête de l'Aïd al-Adha par SM le Roi Mohammed VI mais aussi et surtout démontrer en nous basant sur l'archivage que l'Algérie à plusieurs reprises, avait demandé à sa population de ne pas sacrifier le mouton de l'Aïd al-Adha.


Evidemment, cette affirmation mensongère ne repose sur aucun fondement. La vérité est toute autre : pour préserver le cheptel national face aux difficultés conjoncturelles, SM le Roi Mohammed VI a simplement préconisé aux citoyens marocains de ne pas abattre de moutons cette année. Aucune annulation n'a eu lieu, contrairement à ce que certains veulent faire croire les médias à la solde du régime algérien.


Une décision pragmatique, dans l'intérêt national


Cette orientation vise à assurer la durabilité du cheptel, qui constitue un élément clé de l'économie agricole marocaine. La préservation du cheptel est une décision responsable et visionnaire, loin des interprétations fallacieuses de la propagande algérienne.



Les leçons oubliées de l'histoire algérienne


Les propagandistes algériens, clandestins de leur propre histoire, ignorent-ils que leur propre pays a pris des décisions similaires par le passé ? Qu'ils se rappellent donc qu'en avril 1963, Ahmed Ben Bella avait adopté une mesure identique (source : Le Monde), interdisant l’abattage du mouton pour préserver le cheptel. Plus tard, en 1966, c’est le président Houari Boumediène qui avait imposé la même restriction pour les mêmes raisons. Aucune levée de boucliers à l'époque, aucune accusation contre leur propre gouvernement.



Des précédents récents en Algérie


Si nous remontons plus récemment dans le temps, nous trouvons encore des exemples algériens similaires. Lors de la crise sanitaire, le parlementaire algérien Abdelwahab Benzaim, membre du FLN, avait lui-même suggéré l'annulation du rite du sacrifice. Il avait proposé que l'argent destiné à l'achat des moutons soit versé dans la caisse de la solidarité ou de la zakat.


Mieux encore, le président de l’Association des Oulèma, M. Guessoum, avait déclaré au média El Chourouk que l'annulation du sacrifice était compatible avec la religion musulmane. Il citait même le célèbre savant El Bachir El-Ibrahim, qui avait émis une fatwa autorisant à remplacer le sacrifice par un don monétaire en cas de difficultés.


Une campagne orchestrée pour nuire au Maroc


Face à ces faits indéniables, la question se pose : pourquoi cette indignation sélective lorsque le Maroc adopte une décision similaire, et ce, pour des raisons tout aussi valables ? La réponse est simple : l'objectif des propagandistes algériens n'est pas de veiller à l'application de la religion, mais de salir le Maroc par tous les moyens. Une énième tentative futile de diffamation, qui, une fois encore, tombe à l'eau devant la vérité des faits.


Les Marocains sont conscients des manœuvres de la propagande algérienne et ne tomberont pas dans ce piège grossier. L’histoire et la cohérence des décisions politiques passées prouvent que la décision de SM le roi Mohammed VI est non seulement rationnelle mais aussi légitime. Quant à ceux qui tentent de l’instrumentaliser, peut-être devraient-ils commencer par balayer devant leur propre porte.

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